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Nos conseils après une fausse couche. L’interruption accidentelle de grossesse est une expérience douloureuse pour toute femme. Et ce, même lorsqu’elle intervient au cours des premières semaines. Par ailleurs, cette souffrance ne doit surtout pas être banalisée. Comprendre comment cela se produit et comment éviter que cela ne se répète, permet de mieux accepter cet accident de parcours. Découvrez dans ce contenu nos conseils pour remonter la pente après une fausse couche.

Fausse couche : Comment ça se passe ?

Fausse couche : Comment ça se passe ?

Avant tout propos, sachant que si l’expulsion est spontanée et complète, c’est l’échographie de contrôle qui le montre. Dans ce cas, il n’y a aucune intervention médicale. On peut donc rentrer chez soi.

Par contre, si l’expulsion est incomplète, des comprimés de prostaglandines, hormones provoquant des contractions, permettront d’évacuer le reste. Dans ce cas, il demeure sur les parois de l’utérus, un morceau de trophoblaste. On contrôle 24 heures plus tard et, si besoin, le médecin a recours, sous d’anesthésie générale, soit :

  • à une aspiration : il s’agit d’une petite canule reliée à une pompe et qui permet de vider l’utérus
  • à un curetage : ceci permet au praticien de racler la muqueuse utérine. C’est une intervention de courte durée suivie généralement d’une brève hospitalisation.

Lors d’une fausse couche tardive, une hospitalisation est nécessaire en raison de risques hémorragiques. L’expulsion du fœtus se fait sous péridurale ou sous anesthésie générale. Dans tous les cas, on vérifie le rhésus maternel. S’il est négatif, on procédera à une injection d’anticorps (ou gammaglobulines) anti-D, nécessaires pour éviter des problèmes d’incompatibilité lors de la prochaine grossesse.

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Les fausses couches à répétition : Que faut-il savoir ?

En général, on parle de fausses couches à répétition à partir de 3, mais les médecins s’interrogent plus tôt, à partir de 2, lorsqu’elles sont tardives et au-delà de 38 ans.

Dans la plupart des cas, le médecin procède à une véritable enquête pour connaître clairement les raisons. Parmi les examens pratiqués, on peut noter :

  • un dépistage du diabète en cas d’antécédents dans la famille ;
  • l’établissement du caryotype parental (étude des chromosomes) pour vérifier qu’il n’y a pas d’anomalies génétiques ;
  • l’hystérographie ou l’hystéroscopie afin de dépister un éventuel fibrome qui empêche la grossesse ; 
  • une malformation ou une synéchie (accolement des parois de l’utérus).

De même, un bilan infectieux et immunologique est pratiqué. Il recherche une infection chronique du col de l’utérus, la présence dans le sang de facteurs cytotoxiques dont le mécanisme d’action est comparable à celui d’une réaction de rejet d’une greffe, des anomalies de la coagulation qui favorisent la formation de caillots dans la circulation placentaire.

Soulignons qu’on ne retrouve pas toujours l’origine des fausses couches à répétition. Toutefois, pour diminuer les risques, les médecins préconisent un traitement à base de corticoïdes pour les femmes présentant des maladies auto-immunes ou un traitement à base d’aspirine et parfois d’anticoagulants avant même le début de la grossesse suivante.

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Que faire immédiatement après une fausse couche ?

Que faire immédiatement après une fausse couche ?

Dans certains cas, le repos est nécessaire après une fausse couche surtout s’il y a eu une hémorragie ou en cas d’intervention chirurgicale. Au cas par cas, s’il y a des douleurs, on peut prescrire des antalgiques de niveau 1 comme du paracétamol et des antispasmodiques.

En plus de la fatigue, il y a souvent une grande tristesse et une intense déception après une fausse couche. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est conseillé de demander un soutien psychologique (et un arrêt de travail) dans les jours qui suivent une fausse couche.

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Quels traitements après une fausse couche ?

Si la fausse couche est complète, aucun traitement n’est nécessaire. Il sera juste effectué une échographie de contrôle. Par ailleurs, il existe deux types de traitements des fausses couches non complètes. Le premier est chirurgical, c’est le curetage aspiratif réalisé sous anesthésie générale. Il a pour but de vider l’utérus des débris de la fausse couche. Il est pratiqué dans les cas de fausses couches lors de grossesse évoluée.

Le 2ᵉ traitement des fausses couches est médical. Pour cela, on administre des médicaments qui font partie de la catégorie des prostaglandines. Ceux-ci vont entraîner des contractions, l’ouverture du col de l’utérus pour que celui-ci se vide. Ce traitement médicamenteux est en général réservé aux fausses couches de plus petites tailles.

Si l’on est dans une période-limite, on écoute le désir de la femme. Certaines femmes préfèrent un curetage pour en finir plus vite, d’autres au contraire préfèrent le traitement médicamenteux. Nos conseils après une fausse couche.

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Fausse couche : quelle prise en charge médicale ?

Fausse couche : quelle prise en charge médicale ?

Aux urgences, on vous fera passer une échographie qui permettra de voir si la grossesse est bien placée et si le cœur du fœtus bat. Si l’échographie montre un embryon avec un cœur qui ne bat plus, il s’agit bien d’une fausse couche. Cependant, comme l’échographie ne commence à montrer quelque chose qu’à partir de 4-5 semaines d’aménorrhée, on va dans les cas précoces, regarder l’évolution du taux de Béta-HCG sur 2 jours. Selon les médecins, ce taux doit doubler toutes les 48 h en début de grossesse normale. En cas de fausse couche, le taux de Béta-HCG est divisé par 2 toutes les 48 h.

Comment retrouver confiance après une fausse couche ?

Une fausse couche est sans doute un événement plus difficile à vivre qu’autrefois. Il y a quelques dizaines d’années, faire une fausse couche faisait partie de l’ordre des choses. Aujourd’hui, la donne a changé. Nous sommes davantage dans l’illusion de la maîtrise de la vie. Les tests de grossesse sont de plus en plus précoces, l’échographie permet de visualiser l’embryon ou le fœtus…

Dans le cas d’une assistance médicale à la procréation, on connaît quasiment la date de conception. Ces nouvelles techniques permettent de savoir plus rapidement qu’on est enceinte, elles rendent aussi le bébé « plus réel ». La perception de la vie se manifeste de plus en plus tôt mais celle de la mort aussi.

Conséquence : Il est plus difficile de vivre après une fausse couche aujourd’hui que jadis. Nos conseils après une fausse couche.

Faut-il reconnaître l’existence du bébé ?

Par maladresse, l’entourage médical ou familial n’est pas toujours à la hauteur. Le bébé est nié, alors que si celui-ci n’a pas vécu, il a existé. C’est cette reconnaissance qui permet de faire la place au suivant.

Souvent le décalage se fait à l’intérieur même du couple. Le compagnon, bien qu’il souffre aussi, n’a pas vécu cette expérience dans son corps. Et, la plupart du temps, il ne s’est pas encore imaginé en tant qu’un père en devenir. Il propose quelquefois « d’en refaire un tout de suite », paroles qu’une femme ne peut pas entendre dans l’immédiat. 

Retenez qu’après une fausse couche, il ne faut pas hésiter à demander à son médecin les explications nécessaires pour comprendre ce qui s’est réellement passé.

Le travail de deuil : En quoi consiste-t-il ?

Le travail de deuil : En quoi consiste-t-il ?

Quelles qu’en soient les causes, une fausse couche entraîne toujours une douleur morale et la nécessité de faire un deuil. Mettre des mots sur cet événement est très important, cela permet de se détacher de cet épisode douloureux pour le dépasser.

De toute évidence, la souffrance ne doit pas être gommée, sinon elle risque de rejaillir un jour ou l’autre, parfois sous forme de somatisation (migraine, troubles du sommeil…). Relativiser cet événement, c’est faire un grand pas dans la guérison.

L’entourage ou le corps médical ont un rôle à jouer : écouter et laisser parler sans juger. Une aide psychologique peut être envisagée, une seule consultation suffit parfois.

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Quelles mesures prendre pour refaire un bébé après une fausse couche

Refaire un enfant immédiatement après une fausse couche, est-ce possible ? Médicalement rien ne s’y oppose. Les règles réapparaissent normalement environ un mois après. La plupart du temps, le médecin propose une contraception pour un cycle féminin afin que la muqueuse utérine abrasée se régénère parfaitement.

Dans la tête, c’est autre chose. Pour envisager une nouvelle grossesse, il faut avoir retrouvé confiance en soi et admettre pouvoir la mener à son terme. D’autant plus que les femmes enceintes qui ont déjà fait une fausse couche ont parfois des débuts de grossesse difficiles par peur de la répétition. Surtout lorsqu’elles arrivent à la date anniversaire. Et là, le rôle du compagnon est primordial. Voici donc nos conseils après une fausse couche.

En cas d’infertilité ou de stérilité féminine, adressez-vous aux phytothérapeutes de AMANSIBIO. Nous disposons d’un traitement naturel pour venir à bout de ce mal. Nous proposons aussi des traitements naturels améliorés contre les troubles d’infertilité (kystes, fibromes, myomestrompes bouchées, etc.) ainsi que les troubles du sperme.

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